Bonjour, je viens de lire tes propos sur l'adolescence, les insultes et sur le grand nombre des cafés à Kairouan j'ai l'honneur tout à bord de te saluer et de de te communiquer ce qui suit.
Dans les années 60 et 70 et dans notre ville Kairouan il y avaient des dizaines de jeunes gens (aujourd'hui il y en a parmi eux des hauts cadres
voire même des ministres et des ambassadeurs) qui en passant par l'artère principale de la ville et qui était bien sûr le souk bab tounès bab jelladine ces derniers n'osent pas continuer leurs chemins car c'est monsieur (feu hammadi masrouki et compagnies sont déja là assis devant le musée arabe 'boutique de fourati tapis) ?
Là la question se pose ? Quelle politesse?
Faut il encore signaler qu' monsieur plus agé que moi m'a raconté cette anectode: Un dimanche printannier et en 1968 ,un groupe d'adolescent
visite Kairouan. (excursion d'élèves), il se fait qu'un parmi ces élèves
a déclenché une dispute avec un compagnant à lui por une raison ou une autre. on n'entendait alors que d'etranges insultes vulgaires voire même des blasphèmes.
A toi de deviner la réaction des passagers des citoyens et des gens qui passaient dés lors.
<Ces élèves visiteurs de la ville ont été implicitement fait remarqué par les présents .Ils ont même rebroussé chemin. Et ce par le simple principe/
احتراما لاشخاصهم